Economy

GAFI : une année sous le signe d’un nouveau départ pour les services financiers

Mukul Doollah

Cela fait un an déjà que Maurice, et plus particulièrement le secteur des services financiers, était menacée par l'arrivée des inspecteurs du Groupe d'Action Financière (GAFI). Dans ce contexte, l'équipe de Wazaa FM a interviewé un expert en comptabilité, également consultant en affaires, Shakti Ramtohul. 

Shakti Ramtohul est revenu sur les raisons pour lesquelles il fallait retirer Maurice de la liste grise. Maurice a dû s'adapter à certaines des recommandations du GAFI. Le pays devait se conformer à des cadres d'analyses pour la supervision des institutions financières.

De plus, l'expert en comptabilité et en affaires a pris note de la volonté du gouvernement de réunir les institutions régionales pour faire face au blanchiment d'argent. « Cela a été suivi par un cadre légal pour les enquêtes sur les actifs et le recouvrement », dit-il.

Notre interlocuteur soutient les procédures mises en place par Maurice pour renforcer le système des bénéficiaires effectifs, afin d'assister les banques dans l'accomplissement d'une disposition obligatoire à la Banque de Maurice. Shakti Ramtohul a fait valoir les impacts néfastes que ce phénomène pouvait avoir sur le secteur offshore et financier du pays.

Shakti Ramtohul a également cité la Syrie et le Pakistan, qui seront bientôt rejoints par l'Afrique du Sud sur la liste grise du GAFI. Il a salué la détermination du gouvernement à promouvoir la juridiction financière mauricienne.

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